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Avec les mots de Ch. Baudelaire .

Sur le nuage d'Ourt près de la planète Tyoché
dans les noirs espaces

  

Ils se trouvent tous deux, elle promène ses yeux, 
sur une étrange lumière.

Une ombre aux reflets irisés, 

comme un fragment d’airain.

Un mouvement de main l'invite 

vers un océan de couleurs.

Une dame aux charmes ignorés, aux yeux assurés,

 son doux sourire tranquille.

D' ou viens tu ?  
Parles moi...

Tu as un air étrange qui n'est pas celui d'un ange.

Sans cesse vers toi je vais,
 je t'adore ô ma terrible passion !
Tu répands des parfums comme un soir orageux,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux... 

Par tes poses langoureuses, 

ton dos , tes seins, tes hanches amoureuses...

Quelques fois pour apaiser une rage mystérieuse, tu prodigues, la morsure et le baiser rageur. 

  Tu me déchires amour, avec un rire moqueur, 
Dis moi, pourquoi ton cœur s’enrage t'il  ?
Belle dame aux charmes ignorés, 
je viens vers toi, glissant sans bruit, 
avec  les ombres de la nuit, te donner des baisers chauds
comme un brillant soleil !

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